❝ Cinquième avenue ❞ de Candace Bushnell
Après exactement 606 pages, j'en suis enfin arrivée à bout !
Pour commencer, je n'ai jamais lu Sex and the city du même auteur, par contre je connais (par coeur) la série. Je découvre donc cette auteure avec Cinquième avenue, en imaginant un peu de Sex and the city dedans. Et bien non. C'est, l'air de rien, beaucoup moins futile.
On entre au numéro 1 de la cinquième avenue, un immeuble qui a son histoire et des locataires à problèmes...
Tout commence avec la mort de la plus vieille d'entre eux. Elle laisse un gigantesque penthouse (pour ceux qui ne connaissent pas le terme : un appartement luxueux situé au dernier étage) et des mystères... On découvre ceux qui ont été ses voisins, écrivains plus ou moins reconnus, épouse hystérique, enfant surdoué, tante vieux jeu et toutes leurs connaissances.
On plonge la tête la première dans la haute société new-yorkaise, c'est drôle parfois, mordant surtout, cru de temps en temps mais c'est pour mieux nous montrer la cruauté des hommes, les rêves qui n'aboutissent jamais et le pouvoir de l'argent.
J'ai quand même eu du mal à comprendre ces riches qui se disent le matin en se levant : "Et si j'allais m'acheter une petite oeuvre d'art contemporaine à 50 000 $. Ce sera du meilleur effet à côté de mon Renoir." Lalala.
Dans la continuité de ma lecture du Diable vit à Notting Hill. Sauf que dans ce dernier ils étaient un peu moins riches et vivaient à Londres.
Ah vie de futilités !